Il existe des lois, elles se doivent d'être respectées!
Notre démocratie a permis cela, permettre à chacun de s'appuyer sur LA loi.
Et pourtant, si exploiter un enfant, noir ou pas est un délit sanctionné sévèrement, maltraiter un animal en est aussi un, au regard de la loi, grâce à certains individus, tels que des avocats, Xavier Bacquet entre autre, qui ont imposé l'animal comme être sensible.
Alors comment ne pas s'offusquer de constater que la corrida est un spectacle encore autorisé, comment ne pas crier à l'injustice quand des lapins, des poules, des canards, des chèvres, des cochons, des vaches, des chevaux, des autruches, des ânes, des dindes, etc, vivent aujourd'hui encore un enfer, sous prétexte que chacun se doit de consommer de la viande, sous prétexte que ce secteur doit nourrir en euros certains de nos concitoyens, comment ne pas crier qu'ils ont des droits, et que leur condition de vie n'est pas acceptable, aux yeux de la loi!
Comment se battre contre nos représentants de communes qui autorisent le piégeage des renards, des ragondins, ceux là même qui autorisent la tuerie des corbeaux!
Notre société évolue, bien lentement, mais tant qu'un petit veau sera vu comme de la viande dans l’assiette, tant que le lait de sa mère sera le lait de nos enfants, nous ne serons pas prêt de déferrer nos chevaux...encore moins prêts pour ne plus le considérer comme un outils de séduction sociale, séduction qui s'autorise de bien basses actions.
Comme le répétait mon père, "on n'est loin du plat pour saucer!"...