Travail et tics

Même Cheval Magazine le mentionne ! (C'est dire l'importance de l'information !)

Il viendrait d'être démontré la corrélation entre travail (plutôt intensif, soit) du cheval et développement de comportements stéréotypés (tics).

Je cite :

Cheval Magazine n°518, p.51, "Les tics, un signe de mal-être" a écrit:

Enfin, il a récemment été mis en évidence que le travail a un fort impact sur la prévalence des stéréotypies. Ainsi, les chevaux de dressage vont développer plus de stéréotypies que les chevaux de CSO et de CCE, alors que les chevaux de voltige vont en effectuer moins que tous les autres.

Il serait intéressant de voir s'il est possible de consulter cette étude...

aha treeees intéressant. ......

Il serait temps,on enfoncerait pas des portes ouvertes là?

tu as le nom et auteurs de l'étude ?

vinca18 a écrit:

Il serait temps,on enfoncerait pas des portes ouvertes là?

C'est exactement ce que je me suis répété tout au long de la lecture du numéro... Mais à leur décharge, ce genre de "grande découverte" semble assez courant dans la parution d'articles de recherche...

Urane29 a écrit:

tu as le nom et auteurs de l'étude ?

Ben non, justement. Et je trouve ça limite pas sérieux de la part de la revue, de ne même pas citer les sources !

j'ai trouvé ça:

Si les besoins de l’animal ne sont pas respectés, des stéréotypies apparaissent au sein des écuries. Les chevaux atteints veulent se soustraire à leur situation de mal-être. On rencontre différents comportements comme le mâchonnement, le léchage des murs, le va et vient, le roulement de langue, la langue en serpentine, le tic à l’appui , le tic à l’ours, le tic à l’air, l’excès de mouvement, etc… Ils apparaissent même après certains traumatismes survenus sous la mère, le plus connu étant le sevrage. Certains chevaux déclarent des stéréotypies très tôt, le travail d’une heure par jour joue un rôle important dans l’apparition des stéréotypies. En effet, une étude a été réalisée dans une écurie et il a été constaté une stéréotypie bien définie pour chaque type de travail (Martine Haussberger). On observe ainsi une augmentation du tic à l’ours avec l’augmentation du temps au travail (Christie et al. 2006). Il y a par exemple plus d’émotivité et de stéréotypies chez les chevaux de dressage (M.Hausberger et al. 2004, McGreevy et al. 1995). Ces stéréotypies limitent l’apprentissage. Plus la relation à l’homme est négative plus l’émotivité est grande. Même le soigneur habituel influence le comportement du cheval lors de l’apparition d’une personne étrangère (M.Hausberger & Muller 2002). a écrit:

Source: http://gerardvasseur.ovh.org/index.php?page=rapport

Malheureusement Est-ce que les "bonnes personnes" lisent ce type d'articles?