Alors voila, je m'intéressa fortement au
paddock Paradise. J'ai donc imaginé l'élaboration d'un
paddock paradise. Qu'en pensez vous?
Dites moi s'il y a des choses fausses ou à rajouter.
Le paddock Paradise (PP) En 2007, Jaime Jackson sort un livre intitulé,
Paddock Paradise :
A Guide to Natural Horse Boarding. Il y détaille un nouveau mode de gestion de l’espace de vie du cheval. Ce livre est sorti d’une longue étude sur le quotidien des chevaux sauvage. Jaime Jackson avait effectivement remarqué certain point sur le cheval sauvage :
-Parcours de longue distances par jours, s’éloignant peu d’un chemin défini ;
-Les chemins les mènes vers des endroits toujours précis : zones de pâturages, zones riche en sel minéraux, lieu poussiéreux pour se rouler, zones pour dormir, pour boire, etc…
-Les chemin emprunté ont des caractéristiques très différentes (sol, dénivelé, ombres, herbes varié)
Ainsi le but du
Paddock paradis est de redonner tous ces points indispensables au bon développement du cheval dans un espace réduit (prairie) plus ou moins étriqué.
Créer un Paddock Paradise :[u]
Plan du paddock paradise conçu par Christel Chipon, dans le Maine et LoireDissémination des différents lieu de vie :il est important de ne pas regrouper tous les lieux de vie des chevaux au même endroit. Ainsi on ferra attention à ce que l’eau ne soit pas trop près des abrits, que la zone de repos sois différente que le lieu pour se rouler, que la pierre à sel ne soit pas juste à côté des mangeoires. Le but étant que les chevaux soient obligés de bouger pour aller d’un lieu à un autre.
Des couloirs :Jaime Jackson propose que les différentes zones soient relier par des couloir de 4 à 6 mètres de largeur. Ces derniers pourront aussi être agencés le long de la clôture (vers l’extérieur). Les couloirs vont obliger les équidés à bouger, effectivement plusieurs chevaux dans un couloir se stimulent les uns les autres créant une énergie plus ou moins importantes et incites les chevaux à se déplacer. Le trajet des chevaux doit être longuement réfléchi afin d’optimiser l’espace et d’avoir différentes vue sur leur prairies. La forme du circuit doit être originale, varier entre des lignes droites et des courbes, des lieux plus ou moins large différents ainsi la stimulation.
Zone de repos : On ne peut pas laisser les chevaux marcher tout le temps. Il est important d’élaborer des zones où les chevaux peuvent se poser. Pour cela il faut une petite connaissance du parc à aménager. Quelles sont les lieux où les chevaux font la sieste ? Quand le lieu est repéré on peut soit le laisser tel quel, c'est-à-dire ne pas l’aménager en couloir, soit l’améliorer. Effectivement, il est possible que ce lieu soit fréquemment exposé au vent, dans ce cas-là planter une haie coupe- vent est une bonne idée (de plus cela fera de super nichoirs, maison à insectes, diversifiera la verdure proposé aux chevaux) et pourra aussi apporter de l’ombre aux chevaux en été. La zone de repos est plus ou moins grande suivant l’espace disponible mais elle ne doit pas s’apparenter à une prairie.
Eau : L’idéal est d’avoir un point d’eau naturel (ruisseau) celui-ci pourra être alors utilisé comme zone de baignade ou comme abreuvoir suivant ses dimension.
S’il n’y a pas d’accès à l’eau de manière naturel il est possible de mettre des abreuvoirs (isolé). Il est tout de même important de préciser que le point d’eau devra toujours être mis le plus près du sol (bac, abreuvoir près du sol) car le cheval, dans les conditions naturelles bois la tête en bas (lac, rivière). Ça physionomie est donc adapté à cette manière de boire.
Sol: -Nature : Il est intéressant de varier la nature des sols sur lequel marche les chevaux. Effectivement, plus les chevaux marcheront sur des sols varier plus leur sabot s’usera de manière naturelle évitant ainsi au maximum l’intervention de l’homme et optimiser leur motricité. Ainsi il sera possible de différencier certains couloirs par leur nature (sable/poussier, galet, gravier, boue/terre, …)
-Dénivelé : Si le
paddock présente différents déniveler (côte, contre haut, contre bas, esplanade en hauteur) cela permet ne peux être que positif pour les chevaux (sans oublier toute fois de laisser des zones plane). Mais ce genre de dispositif est souvent difficile à mettre en place.
Foin : Le foin peut être distribué de diverses manière : directement au sol, en filet, dans un râtelier… Le filet à foin s’intègre bien dans la conception d’un PP. Effectivement, il permet aux chevaux de manger plus lentement favorisant dans un même tant leur transit. Quel que soit la solution adoptée concernant le foin, il doit être lui aussi isolé. Il est tout de même intéressant de disséminer le foin le long du trajet, dans les zones un peu plus large. Se rapprochant ainsi d’un pâturage naturel car les chevaux vont alors aller de tas (filet) en tas mangeant lentement et marchant en même temps.
Pâtures :Suivant la taille du parc les pâtures seront gérer différemment. Dans le cas d’un grand espaces (plusieurs hectare) où l’herbe ne viendra pas à manquer suivant les saisons, il est possible de laisser toujours au moins un près ouvert. La rotation des pâtures est néanmoins très important : repos de la prairie, éviter la prolifération de vers,…
Dans le cas d’un petit parc, les pâtures seront alors géré afin de les épuiser les moins possible.
Il peut être intéressant d’élaborer les chemins du PP autour des pâtures.
Abris : -L’idéal est la présence d’un bout de forêt, modifiant encore l’environnement des chevaux et leur offrant l’abri le plus naturel possible. Les chevaux trouvent aussi dans les forêts des plantes qui ne poussent pas ailleurs.
-Dans le cas de la réalisation d’un abri en dure, il est utile de connaître les sens du vent. De grands abris éviteront des disputes inutiles. Un abri sera alors idéalement fermé sur trois côté. Le béton au sol est aussi à éviter car il peut diffuser des ondes telluriques négatives suivant l’endroit.
Herbe :Il peut être intéressant de planter diverses plantes le long des chemins. Les propriétés très varier de chaque plante offriront un panel médicinal important au bien être de chaque individu qui pourra, au grès de ses besoin, assimiler les plantes mises à sa disposition.
Autre :Il est possible d’enrichir un
paddock actif autant que nous le souhaitons. Chaque nouvelle zone aménagé, chaque apport offrira un peu plus de divertissement aux chevaux et leur permettront d’évoluer dans un lieu riche.
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Obstacles : Il est possible de coucher un petit tronc au milieu d’un chemin obligeant nos grosses bêtes à lever leur pattounes
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Arbre : Planter des arbres divers est varier ne peut être que positif. Un sol par exemple offre un abris incontestable et c’est en plus de cela une parfaite plante médicinale.
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Haie : Une clôture naturelle, protégeant du vent, offrant de superbes maisons aux insectes et aux oiseaux. Un plus pour la biodiversité et pour l’esthétique du
paddock (c’est important d’essayer de se rapprocher le plus possible d’un paysage naturel pour le développement sain du cheval).
-Pierre à sel : Indispensable pour palier un possible manque en sel minéraux.
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Zone de poussière : Parcelle aménagé où les chevaux pourront se rouler à loisir, se protégeant ainsi des insectes et des parasites.
Ou ce que je fais le lundi soir avant un bac d'histoire-géo