Afin de rajouter une pierre à l'édifice, je voulais témoigner de la mésaventure qui m'est arrivé il ya quelques semaines.
Je sorts mon cheval du pré et au début, tout allait bien.
Puis, il commence à ralentir, à déplacer de façon étrange ses postérieurs.
Après quelques pas, il se met à boiter fortement des antérieurs.
Comme l'herbe était abondante et humide au point que j'avais du le limiter quelques jours avant pour des risques de fourbure, je part sur une hypotèse d'abcès.
Je pare tous les pieds, je fais un teste complet à la pince sonder, mais rien.
Puis mon cheval commence à se tordre et à marcher de travers.
Je commence à stresser et à penser à un problème neurologique.
Mais je connais mon cheval et je sais qu'il a un transite un peu particulier.
Deplus, je ne le travaillais pas à trop à ce moment et l'herbe éait abondante et humide.
Je mets donc mon oreille sur son gros ventre et la je n'entends plus rien.
On me dit que ce n'est pas une colique car il n'a pas de tempéraure et qu'il ne transpire pas.
Je reste sur mon idée qu'il fait une colique et que je dois le marcher: lorsqu'il s'agit de mon cheval, je prends mes responsabilités envers et contre tout.
Au final, je le marche deux heures en pleine nuit, je me tord la cheville sur les chemins, après deux ou trois crotins, mon cheval retrouve une locomoption normale.
Le lendemain, j'ai la confirmation qu'il était bien en colique après un avis véto.
Je prends ensuite la décision de le placer dans un pré moins riche.
Malheureusement, c'est un peu de ma faute, car depuis que j'ai trois chevaux à m'occuper, je le travaille moins.
C'est un cheval qui a toujours besoin de mouvement.
Je voulais témoigner car une boiterie ne vient pas forcément des pieds, comme pour mon cheval, cela peut venir d'une colique ou de bien d'autres problèmes comme le dos.
Le soir même, il allait bien, le lendemain, il était comme si il ne s'était rien passé.
Encore une fois, la santé est un tout.